Messagerie LES PETITES PHRASES SYMPATOCHES À GLISSER À VOS INTERLOCUTEUR·ICES SOLIDARITÉ L’objectif est bien de rediriger les personnes vers les réunions d’information où tout sera abordé en détail. Deux choses importantes tout de même à savoir : • Si votre interlocuteur·ice a déjà une activité développée, il est possible de transférer à son rythme facturation et fonctionnement chez Coopaname (on a l’habitude !). • Le parcours d’intégration dans la coopérative dure 6 mois et rassemble une dizaine d’entrepreuneur·es. Entre ateliers, cheminement de son offre ou encore repas partagés, tout est réuni pour évoluer dans des conditions sereines et développer son activité. LES IDÉES À PICORER SANS MODÉRATION POUR PARLER DE COOPANAME ! ON ME POSE DÉJÀ DES QUESTIONS PRÉCISES SUR LE FONCTIONNEMENT ! Incitez à s’inscrire à une réunion d’information collective ! Pour les autoentrepreneur·es Pour celles et ceux qui se lancent dans l’entrepreneuriat Pour celles et ceux qui veulent changer le travail ! Retrouvez un super tableau comparatif sur notre site, rubrique “Coopaname mode d’emploi” T’as déjà déclaré un arrêt maladie ? Et t’es chez qui pour ta prévoyance ? Ton chômage, t’y as pensé ? Et si on dépassait le salariat subordonné et l’entrepreneuriat précarisé ? Cela te dirait de rejoindre une communauté d’entrepreneur·es ? Un cadre sécurisé pour apprendre la posture d’entrepreneur·e, qu’en dis-tu ?
COOPANAME, SI ON VEUT FAIRE COURT Pour les opportunités bizness ! Notre coopérative de travail se conçoit comme un vivier de coopérations à géométrie variable. Un cadre dans lequel articuler souplement projets individuels et collectifs. Les membres de la coopérative peuvent s’associer dans le cadre : • d’une coopération ponctuelle, en répondant conjointement à un marché public ou un appel d’offres, • d’une coopération ponctuelle ou plus régulière, en organisant des sous-traitances multiples, qui deviennent des co-traitances, • d’une coopération régulière, pérenne et structurée, via la création d’une marque collective. Pour éviter l’isolement et évoluer dans un cadre d’entraide (et re-toc l’autoentrepreneuriat !) Les groupes et les collectifs n’ont pas tous vocation à vendre une prestation ou à créer du business ensemble. Coopaname se structure aussi comme un cadre d’entraide, de soutien mutuel, de formation mutuelle entre entrepreneur·es au travers de groupes par approche métier, d’outils comme le co-développement ou le « compagnonnage rapproché » de groupes de territoires, d’anités, ou de besoins communs… et tout ce qui pourra être inventé par les membres ! Pour allier activité et solidarité Vous en avez vu beaucoup vous des entrepreneur·es qui cofinançaient le salaire d’un·e autre entrepreneur·e revenant d’un long arrêt maladie ? Coopaname, c’est avant tout de la solidarité collective à de nombreux étages pour faire face aux risques et besoins entrepreneuriaux (fonds de secours et fonds d’investissement). Pour partager son entreprise et se concentrer sur son métier Les autoentrepreneur·es ou les gérant·es de société doivent eux-mêmes gérer leur structure et toutes les questions qui vont avec (administratives, juridiques, fiscales...). Dans le cadre d’une CAE, les entrepreneur·es se concentrent sur leur métier grâce à la mutualisation des fonctions administratives. Pour sécuriser son parcours et ses droits avec le salariat (et toc l’autoentrepreneuriat !) Les cotisations sociales d’un·e auto-entrepreneur ne donnent pas accès à la même protection sociale que celle du régime salarié (pas de cotisation chômage). L’originalité de la CAE repose sur le fait qu’elle offre un statut d’entrepreneur-salarié qui permet de béné- ficier de la même couverture sociale qu’un·e salarié·e classique, tout en étant autonome dans l’exercice de son activité professionnelle. Le salaire est simplement généré depuis le chiffre d’affaires de l’activité. Ils et elles peuvent de plus mutualiser des contrats collectifs (exemples : mutuelle, responsabilité civile profession- nelle ou encore prévoyance). Pour aller bien au-delà de la prestation de services du portage salarial En portage salarial comme en CAE, l’entrepreneur·e bénéficie d’une mutualisation des fonctions liées à son activité ainsi que du statut d’entrepreneur-salarié. Néanmoins, les entreprises de portage salarial se focali-sent sur une prestation de services. L’objectif n’est ni de partager démocratiquement une entreprise, ni d’in-venter des mécanismes de solidarité pour se protéger ensemble des risques entrepreneuriaux. POURQUOI COOPANAME ? (et pas l’autoentrepreneuriat ou le portage salarial) Les “+” bizness de Coopaname : certifications et réputation • Une structure « solide » pour répondre aux marchés publics – et oui, ça fait plus « sérieux » de répondre en tant que société anonyme qu’autoentrepreneur·e. • La certification Qualiopi – précieux sésame dicile à obtenir. • L’agrément service à la personne (SAP) et son système d’avance immédiate (déduction d’impôts) via notre filiale Coopératifs. Imprimé par Quintal à Paris • photo Nicolas Olivier • Ne pas jeter sur la voie publiqueCoopaname, un cadre pour son activité entrepreneuriale Coopaname propose un cadre juridique, économique, social et humain à toutes celles et ceux qui souhaitent créer, développer ou bien stabiliser une activité entrepreneuriale. Coopaname, c’est du solide et c’est solidaire Coopaname rassemble aujourd’hui 500 entrepreneur·es qui mutualisent les fonctions de gestion d’une entreprise et inventent au quotidien des mécanismes de solidarité, afin que chacun·e puisse vivre dignement de son travail et de ses savoir-faire. Coopaname, c’est du concret Chez Coopaname, on peut : • s’appuyer sur une équipe de 38 personnes pour les questions administratives, fiscales et juridiques, • bénéficier d’ateliers pour apprendre et prendre confiance dans la posture entrepreneuriale (modèle économique, commercial, communication...), • échanger avec des entrepreneur·es, • créer des coopérations économiques, • sécuriser son parcours et ses droits sociaux, grâce au statut d’entrepreneur·e salarié·e, • imaginer et fabriquer des solidarités entre travailleur·ses.
COOPANAME, SI ON VEUT FAIRE COURT Pour les opportunités bizness ! Notre coopérative de travail se conçoit comme un vivier de coopérations à géométrie variable. Un cadre dans lequel articuler souplement projets individuels et collectifs. Les membres de la coopérative peuvent s’associer dans le cadre : • d’une coopération ponctuelle, en répondant conjointement à un marché public ou un appel d’offres, • d’une coopération ponctuelle ou plus régulière, en organisant des sous-traitances multiples, qui deviennent des co-traitances, • d’une coopération régulière, pérenne et structurée, via la création d’une marque collective. Pour éviter l’isolement et évoluer dans un cadre d’entraide (et re-toc l’autoentrepreneuriat !) Les groupes et les collectifs n’ont pas tous vocation à vendre une prestation ou à créer du business ensemble. Coopaname se structure aussi comme un cadre d’entraide, de soutien mutuel, de formation mutuelle entre entrepreneur·es au travers de groupes par approche métier, d’outils comme le co-développement ou le « compagnonnage rapproché » de groupes de territoires, d’anités, ou de besoins communs… et tout ce qui pourra être inventé par les membres ! Pour allier activité et solidarité Vous en avez vu beaucoup vous des entrepreneur·es qui cofinançaient le salaire d’un·e autre entrepreneur·e revenant d’un long arrêt maladie ? Coopaname, c’est avant tout de la solidarité collective à de nombreux étages pour faire face aux risques et besoins entrepreneuriaux (fonds de secours et fonds d’investissement). Pour partager son entreprise et se concentrer sur son métier Les autoentrepreneur·es ou les gérant·es de société doivent eux-mêmes gérer leur structure et toutes les questions qui vont avec (administratives, juridiques, fiscales...). Dans le cadre d’une CAE, les entrepreneur·es se concentrent sur leur métier grâce à la mutualisation des fonctions administratives. Pour sécuriser son parcours et ses droits avec le salariat (et toc l’autoentrepreneuriat !) Les cotisations sociales d’un·e auto-entrepreneur ne donnent pas accès à la même protection sociale que celle du régime salarié (pas de cotisation chômage). L’originalité de la CAE repose sur le fait qu’elle offre un statut d’entrepreneur-salarié qui permet de béné- ficier de la même couverture sociale qu’un·e salarié·e classique, tout en étant autonome dans l’exercice de son activité professionnelle. Le salaire est simplement généré depuis le chiffre d’affaires de l’activité. Ils et elles peuvent de plus mutualiser des contrats collectifs (exemples : mutuelle, responsabilité civile profession- nelle ou encore prévoyance). Pour aller bien au-delà de la prestation de services du portage salarial En portage salarial comme en CAE, l’entrepreneur·e bénéficie d’une mutualisation des fonctions liées à son activité ainsi que du statut d’entrepreneur-salarié. Néanmoins, les entreprises de portage salarial se focali-sent sur une prestation de services. L’objectif n’est ni de partager démocratiquement une entreprise, ni d’in-venter des mécanismes de solidarité pour se protéger ensemble des risques entrepreneuriaux. POURQUOI COOPANAME ? (et pas l’autoentrepreneuriat ou le portage salarial) Les “+” bizness de Coopaname : certifications et réputation • Une structure « solide » pour répondre aux marchés publics – et oui, ça fait plus « sérieux » de répondre en tant que société anonyme qu’autoentrepreneur·e. • La certification Qualiopi – précieux sésame dicile à obtenir. • L’agrément service à la personne (SAP) et son système d’avance immédiate (déduction d’impôts) via notre filiale Coopératifs. Imprimé par Quintal à Paris • photo Nicolas Olivier • Ne pas jeter sur la voie publiqueCoopaname, un cadre pour son activité entrepreneuriale Coopaname propose un cadre juridique, économique, social et humain à toutes celles et ceux qui souhaitent créer, développer ou bien stabiliser une activité entrepreneuriale. Coopaname, c’est du solide et c’est solidaire Coopaname rassemble aujourd’hui 500 entrepreneur·es qui mutualisent les fonctions de gestion d’une entreprise et inventent au quotidien des mécanismes de solidarité, afin que chacun·e puisse vivre dignement de son travail et de ses savoir-faire. Coopaname, c’est du concret Chez Coopaname, on peut : • s’appuyer sur une équipe de 38 personnes pour les questions administratives, fiscales et juridiques, • bénéficier d’ateliers pour apprendre et prendre confiance dans la posture entrepreneuriale (modèle économique, commercial, communication...), • échanger avec des entrepreneur·es, • créer des coopérations économiques, • sécuriser son parcours et ses droits sociaux, grâce au statut d’entrepreneur·e salarié·e, • imaginer et fabriquer des solidarités entre travailleur·ses.
COOPANAME, SI ON VEUT FAIRE COURT Pour les opportunités bizness ! Notre coopérative de travail se conçoit comme un vivier de coopérations à géométrie variable. Un cadre dans lequel articuler souplement projets individuels et collectifs. Les membres de la coopérative peuvent s’associer dans le cadre : • d’une coopération ponctuelle, en répondant conjointement à un marché public ou un appel d’offres, • d’une coopération ponctuelle ou plus régulière, en organisant des sous-traitances multiples, qui deviennent des co-traitances, • d’une coopération régulière, pérenne et structurée, via la création d’une marque collective. Pour éviter l’isolement et évoluer dans un cadre d’entraide (et re-toc l’autoentrepreneuriat !) Les groupes et les collectifs n’ont pas tous vocation à vendre une prestation ou à créer du business ensemble. Coopaname se structure aussi comme un cadre d’entraide, de soutien mutuel, de formation mutuelle entre entrepreneur·es au travers de groupes par approche métier, d’outils comme le co-développement ou le « compagnonnage rapproché » de groupes de territoires, d’anités, ou de besoins communs… et tout ce qui pourra être inventé par les membres ! Pour allier activité et solidarité Vous en avez vu beaucoup vous des entrepreneur·es qui cofinançaient le salaire d’un·e autre entrepreneur·e revenant d’un long arrêt maladie ? Coopaname, c’est avant tout de la solidarité collective à de nombreux étages pour faire face aux risques et besoins entrepreneuriaux (fonds de secours et fonds d’investissement). Pour partager son entreprise et se concentrer sur son métier Les autoentrepreneur·es ou les gérant·es de société doivent eux-mêmes gérer leur structure et toutes les questions qui vont avec (administratives, juridiques, fiscales...). Dans le cadre d’une CAE, les entrepreneur·es se concentrent sur leur métier grâce à la mutualisation des fonctions administratives. Pour sécuriser son parcours et ses droits avec le salariat (et toc l’autoentrepreneuriat !) Les cotisations sociales d’un·e auto-entrepreneur ne donnent pas accès à la même protection sociale que celle du régime salarié (pas de cotisation chômage). L’originalité de la CAE repose sur le fait qu’elle offre un statut d’entrepreneur-salarié qui permet de béné- ficier de la même couverture sociale qu’un·e salarié·e classique, tout en étant autonome dans l’exercice de son activité professionnelle. Le salaire est simplement généré depuis le chiffre d’affaires de l’activité. Ils et elles peuvent de plus mutualiser des contrats collectifs (exemples : mutuelle, responsabilité civile profession- nelle ou encore prévoyance). Pour aller bien au-delà de la prestation de services du portage salarial En portage salarial comme en CAE, l’entrepreneur·e bénéficie d’une mutualisation des fonctions liées à son activité ainsi que du statut d’entrepreneur-salarié. Néanmoins, les entreprises de portage salarial se focali-sent sur une prestation de services. L’objectif n’est ni de partager démocratiquement une entreprise, ni d’in-venter des mécanismes de solidarité pour se protéger ensemble des risques entrepreneuriaux. POURQUOI COOPANAME ? (et pas l’autoentrepreneuriat ou le portage salarial) Les “+” bizness de Coopaname : certifications et réputation • Une structure « solide » pour répondre aux marchés publics – et oui, ça fait plus « sérieux » de répondre en tant que société anonyme qu’autoentrepreneur·e. • La certification Qualiopi – précieux sésame dicile à obtenir. • L’agrément service à la personne (SAP) et son système d’avance immédiate (déduction d’impôts) via notre filiale Coopératifs. Imprimé par Quintal à Paris • photo Nicolas Olivier • Ne pas jeter sur la voie publiqueCoopaname, un cadre pour son activité entrepreneuriale Coopaname propose un cadre juridique, économique, social et humain à toutes celles et ceux qui souhaitent créer, développer ou bien stabiliser une activité entrepreneuriale. Coopaname, c’est du solide et c’est solidaire Coopaname rassemble aujourd’hui 500 entrepreneur·es qui mutualisent les fonctions de gestion d’une entreprise et inventent au quotidien des mécanismes de solidarité, afin que chacun·e puisse vivre dignement de son travail et de ses savoir-faire. Coopaname, c’est du concret Chez Coopaname, on peut : • s’appuyer sur une équipe de 38 personnes pour les questions administratives, fiscales et juridiques, • bénéficier d’ateliers pour apprendre et prendre confiance dans la posture entrepreneuriale (modèle économique, commercial, communication...), • échanger avec des entrepreneur·es, • créer des coopérations économiques, • sécuriser son parcours et ses droits sociaux, grâce au statut d’entrepreneur·e salarié·e, • imaginer et fabriquer des solidarités entre travailleur·ses.
LES PETITES PHRASES SYMPATOCHES À GLISSER À VOS INTERLOCUTEUR·ICES SOLIDARITÉ L’objectif est bien de rediriger les personnes vers les réunions d’information où tout sera abordé en détail. Deux choses importantes tout de même à savoir : • Si votre interlocuteur·ice a déjà une activité développée, il est possible de transférer à son rythme facturation et fonctionnement chez Coopaname (on a l’habitude !). • Le parcours d’intégration dans la coopérative dure 6 mois et rassemble une dizaine d’entrepreuneur·es. Entre ateliers, cheminement de son offre ou encore repas partagés, tout est réuni pour évoluer dans des conditions sereines et développer son activité. LES IDÉES À PICORER SANS MODÉRATION POUR PARLER DE COOPANAME ! ON ME POSE DÉJÀ DES QUESTIONS PRÉCISES SUR LE FONCTIONNEMENT ! Incitez à s’inscrire à une réunion d’information collective ! Pour les autoentrepreneur·es Pour celles et ceux qui se lancent dans l’entrepreneuriat Pour celles et ceux qui veulent changer le travail ! Retrouvez un super tableau comparatif sur notre site, rubrique “Coopaname mode d’emploi” T’as déjà déclaré un arrêt maladie ? Et t’es chez qui pour ta prévoyance ? Ton chômage, t’y as pensé ? Et si on dépassait le salariat subordonné et l’entrepreneuriat précarisé ? Cela te dirait de rejoindre une communauté d’entrepreneur·es ? Un cadre sécurisé pour apprendre la posture d’entrepreneur·e, qu’en dis-tu ?
LES PETITES PHRASES SYMPATOCHES À GLISSER À VOS INTERLOCUTEUR·ICES SOLIDARITÉ L’objectif est bien de rediriger les personnes vers les réunions d’information où tout sera abordé en détail. Deux choses importantes tout de même à savoir : • Si votre interlocuteur·ice a déjà une activité développée, il est possible de transférer à son rythme facturation et fonctionnement chez Coopaname (on a l’habitude !). • Le parcours d’intégration dans la coopérative dure 6 mois et rassemble une dizaine d’entrepreuneur·es. Entre ateliers, cheminement de son offre ou encore repas partagés, tout est réuni pour évoluer dans des conditions sereines et développer son activité. LES IDÉES À PICORER SANS MODÉRATION POUR PARLER DE COOPANAME ! ON ME POSE DÉJÀ DES QUESTIONS PRÉCISES SUR LE FONCTIONNEMENT ! Incitez à s’inscrire à une réunion d’information collective ! Pour les autoentrepreneur·es Pour celles et ceux qui se lancent dans l’entrepreneuriat Pour celles et ceux qui veulent changer le travail ! Retrouvez un super tableau comparatif sur notre site, rubrique “Coopaname mode d’emploi” T’as déjà déclaré un arrêt maladie ? Et t’es chez qui pour ta prévoyance ? Ton chômage, t’y as pensé ? Et si on dépassait le salariat subordonné et l’entrepreneuriat précarisé ? Cela te dirait de rejoindre une communauté d’entrepreneur·es ? Un cadre sécurisé pour apprendre la posture d’entrepreneur·e, qu’en dis-tu ?